lundi 8 février 2016

Les poubelles pleurent parfois pour de vrai

À force de recevoir des critiques positives, j'en avais presque perdu de vue que certains lecteurs ne goûtaient pas toujours les écrits détritiques. C'est malheureusement le cas de A_girl_from_earth sur Lecture sans Frontière qui est restée dubitative devant Les poubelles pleurent aussi :
Ce qui m'a frappée d'emblée (et plutôt agréablement), c'est l'humour qui semble venir naturellement à l'auteur, comme chez ces gens facétieux qui arrivent toujours à placer un jeu de mots qu'on pourra trouver désopilant ou un peu lourd selon que l'on ait le rire facile ou que l'on soit d'humeur.
Ça, c'était très appréciable, et normalement j'aurais donc dû être séduite, surtout que le texte était assez court pour que je ne me lasse pas, mais là où ça a pêché, c'est l'intrigue. Une intrigue qui m'a semblé sans intérêt, où je me suis ennuyée, et que je serais même en mal de restituer, tellement elle ne m'a pas marquée. Je me contenterai donc juste d'un extrait en mémoire de l'humour espiègle et du sens de la dérision de l'auteur qui est parvenu maintes fois à me faire sourire.
Heureusement, Sale temps pour les poubelles rattrape le niveau grâce à Vestrit :
La dernière novella des poubelles, qui nous plonge dans la confusion la plus totale avec cette histoire de chronautes remonteurs de temps. L'humour, en tout cas, reste au rendez-vous et les poubelles me manqueront.
Hélas, oui, Les poubelles risquent de manquer d'autant plus qu'elles sont en cours de disparition...

Keep calm and... kill the frog.



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