Ce qui m'a frappée d'emblée (et plutôt agréablement), c'est l'humour qui semble venir naturellement à l'auteur, comme chez ces gens facétieux qui arrivent toujours à placer un jeu de mots qu'on pourra trouver désopilant ou un peu lourd selon que l'on ait le rire facile ou que l'on soit d'humeur.Heureusement, Sale temps pour les poubelles rattrape le niveau grâce à Vestrit :
Ça, c'était très appréciable, et normalement j'aurais donc dû être séduite, surtout que le texte était assez court pour que je ne me lasse pas, mais là où ça a pêché, c'est l'intrigue. Une intrigue qui m'a semblé sans intérêt, où je me suis ennuyée, et que je serais même en mal de restituer, tellement elle ne m'a pas marquée. Je me contenterai donc juste d'un extrait en mémoire de l'humour espiègle et du sens de la dérision de l'auteur qui est parvenu maintes fois à me faire sourire.
La dernière novella des poubelles, qui nous plonge dans la confusion la plus totale avec cette histoire de chronautes remonteurs de temps. L'humour, en tout cas, reste au rendez-vous et les poubelles me manqueront.Hélas, oui, Les poubelles risquent de manquer d'autant plus qu'elles sont en cours de disparition...
Keep calm and... kill the frog.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire